Euthanasie active : proposition de loi
Signe que, certes, c'est compliqué, mais que, comme ailleurs, c'est possible.
Dès lors, puisque la technique n'est pas un handicap dirimant, la vraie question qui se pose : accepte-t-on ou non d'introduire un nouveau droit de tuer en France ?
Pour ma part, j'y suis favorable. A l'évidence, la loi Leonetti, pour les cas Humbert ou Sébire, n'est pas satisfaisante.